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 L'histoire RP et RR de Cesars (en deux parties)

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cesars
Cesars : ca veux tous dire
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MessageSujet: L'histoire RP et RR de Cesars (en deux parties)   L'histoire RP et RR de Cesars (en deux parties) EmptyMar 25 Oct à 17:52

Cesars de la Tour Saint-Arnault : sa vie, son oeuvre, sa pensée.

Chapitre I : La naissance et l'éducation de Cesars

Le 23 octobre 1395, Cesars naissait dans une famille de la noblesse de Touraine chez les "De la Tour Saint Arnault». Cette dernière dut abandonner Cesars, car il était muet jusqu'à l'âge de 3 ans et à cause de la guerre de 100 ans, dans une abbaye bénédictine: l'abbaye du Val des Choux en Bourgogne. Son éducation était assurée par le Père Abbé Benoît qui lui apprit à lire, écrire, compter. A 8 ans le jeune enfant, doué en mathématiques, partit dans une autre abbaye près de Recey sur Ource dans le plateau de Langres. Là bas on lui apprit l'histoire, le latin, le grec, l'héraldique, la géographie et l'allemand mais pas l'anglais pour une bonne raison : la France était en guerre contre la perfide Albion. Il continua à apprendre les mathématiques.
Alors que Cesars n'avait que 13 ans l'abbaye fut complètement détruite par des archers anglais, aidés par des catapultes et ce sous ces yeux. Il jura de vivre jusqu'à ce que les Anglais soient boutés hors de son pays, de sa patrie : la France. Il se réfugia quelque temps dans l'Eglise Saint Rémi de Recey sur Ource où le curé lui expliqua la signification de tous les tableaux et de tous les vitraux. Un tableau, tout particulièrement, l'intéressa : une copie du tableau du sacre de Clovis. Le prêtre lui dit : "Cesars , voit cet Homme, c'est le fondateur de notre patrie que les anglais détruisent". Cesars réfléchit durant une semaine à ces mots , se souvient du Père Abbé Benoît et décida d'y retourner.
Au bout de cinq heures de marche sans arrêt, Cesars y arriva. Voyant des soldats, il se demanda si le désastre de l'abbaye de Recey n'était pas assez et courut pour essayer de les dissuader de commettre un autre crime. Le voyant arriver, le Père Abbé Benoît lui dit :
"Cesars, j'avais peur qu'il ne te soit arrivé malheur à Recey, heureusement tu es sain et sauf. J'ai eu très peur en apprenant que l'abbaye dans laquelle je t'avais placé avait été détruite"
Cesars répondit :
"Qui sont ces gens ?"
"Des hospitaliers et des soldats royaux. Le Roy de France nous les a envoyé pour nous garder en vie. Tu ne dois pas rester là, les anglais vont arriver, prends ce cheval et va jusqu'à Sens dans la cathédrale, là bas t'attend l'archevêque. Je lui ai parlé de toi: vous irez à Rome ensemble, tu pourras y apprendre le latin, les maths, l'histoire et la géographie. Allez pars, pour qu'il ne t'arrive rien, le chevalier Henry ira avec toi à Sens."
Cesars partit alors avec le chevalier Henry.


Chapitre II : De Sens à Rome

"200 Km de route" telle furent les mots du chevalier Henri. Les cavaliers passèrent en premier lieux par Recey pour que Cesars dise Adieu au Prêtre et qu'il prenne ses affaires. Le chemin fut sans embûche jusqu'à Leuglay où les Anglais avaient installé un péage frontière. Ils durent contourner par Lucey, Faverolles-les-Lucey, La Chaume, Louesme, Vilote sur Ource. Une fois à Châtillon-Sur-Seine , ils durent finir la journée de marche car c'était la seule ville aux alentours tenue par le Roy de France et où il ne serait pas inquiété. Le lendemain, vers 4 heures du matin, ils reprirent la route. Au bout de plusieurs jours, ils arrivèrent à Bar-sur-Seine mais là bas, ils durent combattre aux côtés des Français pour récupérer la ville aux mains des Bourguignons. Le combat fut terrible, il se solda par la mort du chevalier Henry et par la fuite de Cesars. Une fois arrivé à Sens, l'Archevêque l'accueillit avec une multitude de questions sur le Père Abbé Benoît, l'abbaye de Recey et sur tout le reste. Quatre heures plus tard, Cesars et l'Archevêque partirent pour Rome.

Malgré tout ce que put imaginer Cesars, la route fut assez calme. En effet, les soldats anglais laissèrent passer l'homme d'Eglise et ce qu'il pensaient être son vicaire. Durant le voyage, l'archevêque de Sens apprit à Cesars l'histoire des villes parcourues et leur fondation mais surtout il lui expliqua en long et en large, plusieurs fois, l'origine de cette guerre que Cesars allait connaître durant la majorité de sa vie. Une fois à Rome, c'était avec le Pape en personne qu'il put discuter de théologie et malgré son jeune âge, il semblait relativement à l'aise même s'il ne comprenait pas tout, comme disait le pape, "c'est digne d'un futur cardinal". Le pape demanda à l'archevêque pourquoi il avait emmené Cesars avec lui ? Etait-ce pour lui donner une tache quelconque dans l'armée ? Non, il était trop jeune. L'archevêque lui expliqua son parcours, sa vie et l'objectif du Père Abbé Benoît : le voir devenir un savant théologien, mathématicien de surcroit. Le pape offrit à Cesars le droit d'être éduqué dans une grande école religieuse de Rome et en même tant dans une petite école qui apprenait l'histoire et la géographie.

Chapitre III : Les études de Cesars

En l'an 1409, Cesars avait 14 ans et commençait ses études à Rome dans l'école papale. Très vite, aidé par son niveau élevé, c'était à lui que fut donnée la tache d'enseigner les mathématiques. Parmi ses élèves certains avaient trois ou quatre fois son âge, mais cela importait peu. Se passionnant pour l'histoire, il put écrire à 15 ans seulement un codex traitant des titres de noblesse française et de Charlemagne qui comptaient dans les meilleurs de l'époque. La géographie et la cartographie lui permirent de dessiner Une carte des évêchés de France très précise. Grâce à de savants calculs mathématiques et grâce à ses connaissances tant historiques que géographiques, il mit au point un [url]http://forum.royaumesrenaissants.com/viewtopic.php?t=2985] traité d'économie traitant du métier de tavernier[/url]. Cesars écrit plus tard un recueil de prières. Il fut aussi reconnu comme un écrivain dont le texte était souvent entaché de fautes mais cela lui permit d'intégrer la confrérie des troubadours.
En 1415, à l'âge de 20 ans et après 6 années passées à apprendre le latin, l'allemand, le grec, l'histoire, la religion, la géographie/cartographie il dut partir de Rome, chassé par le nouveau pape. Durant ces 6 années, pour gagner quelque écus, il mit à profit ses talents d'héraldologue en fabriquant des blasons pour les familles riches et pour compléter les périodes dures, il dut faire interprète allemand auprès des seigneurs. Il était obligé de faire cela car même s'il a écrit quelques livres, le pape lui avait confisqué ses revenus et l'école, dans laquelle il enseignait les mathématiques, lui avait échangé des cours qu'il dispensait contre des cours qu'il suivait.
Il partit donc à Constantinople par bateau. Une fois là bas, il continua des études d'histoire mais cette fois-ci, d'histoire byzantine et continua après les mathématiques. Il fit, à l'université, une rencontre qui changea sa vie ; il fit la connaissance du patriarche de Constantinople. Tout deux entretenaient de bonnes relations, Cesars lui fit connaitre les enseignements catholiques tandis que le patriarche lui enseignait la religion orthodoxe. Mais l'Empereur fit tuer le patriarche pour mettre à la tête de l'Eglise d'Orient, son frère. Cesars resta à Constantinople, croyant que le patriarche, son ami, était mort de causes naturelles, pour apprendre le slave et l’hébreu. Cesars continua à gagner sa vie en fabriquant des blasons pour les nobles et donnant quelques cours de mathématiques à la noblesse byzantine et parfois en balayant une partie de la basilique Sainte Sophie. Un autre ami, un tavernier qui tenait l'auberge de la basilique, lui avait prêté une petite pièce de quelques toises carrées sans le moindre confort, qu'il devait partager avec une vache qui lui donnait du lait et de la chaleur en hiver.

Chapitre IV : Cesars recueille Turenne et Aragoth

Malheureusement son frère mourut lors d'une bataille et Cesars dut recueillir les fils de son frère. Il ne savait comment s'y prendre car il avait reçu une éducation religieuse. Il rentra en France à Aubigny.
Cesars connaissait très bien le père abbé de l'abbaye de Cluny, il y plaça Aragoth le second.
Il dut enseigner et faire enseigner à Turenne. La mère de Turenne et Aragoth était devenu folle.
Après quelque jours à Aubigny, il découvrit le testament du père d' Aragoth et Turenne. Ce dernier disait que Cesars héritait d'Etretat et d'Héricourt mais que Turenne devait prendre le titre de marquis d'Aubigny. Cesars en était fort heureux, cela lui permettait d'avoir des terres en France et dans le Saint Empire.
Cesars éleva Turenne comme son propre fils mais avait du laisser Aragoth à l'abbaye comme le voulait son père.
Les années passèrent et au bout de quelque temps, Turenne, devenu majeur, prit le "contrôle" de son titre de marquis sans savoir que son père l'avait déshérité d'Etretat et d'Héricourt au profit de Cesars.
Quelques années plut tard, Aragoth eu 17 ans et voulu partir vivre en ermite dans un désert en Arabie. Cesars le laissa faire mais essaya tout de même de le convaincre de ne pas le faire.


Dernière édition par le Jeu 22 Fév à 21:43, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: L'histoire RP et RR de Cesars (en deux parties)   L'histoire RP et RR de Cesars (en deux parties) EmptyMer 26 Oct à 10:40

Chapitre V : la vie Bertincourienne

Cesars arriva à Bertincourt en novembre 1450. Mais pris de folie, il partit dans la ville. Personne ne sait comment, mais il prit d'assaut la mairie des mains de Benjy. Cesars ne resta maire que deux-trois jours, le temps que les villageois se révoltent contre lui. Cesars, cumulant les écus, put acheter un champ au comté d'Artois. Quelques mois après avoir pris la mairie d'assaut, Cesars se présenta aux municipales, 5 candidats se présentèrent : Cesars, Romaric, Jeanot, Maxaris et ForceJaune. Maxaris fut élu dès le premier tour car son principal concurrent, Romaric, s'était retiré de la course. Cesars obtint 2,6% des voix et la dernière place. Il faut dire que le programme de Cesars était peu élaboré et mal fait. La carrière politique de Cesars était lancée. Cesars fit tout de même une rencontre, Lylle qui avait créé le LAUD (Ligue pour un Artois Unis et Démocratique). En effet l'Artois venait d'être divisé en deux : l'Artois, avec comme capitale Arras et avec comme comte Levan, et la Champagne, avec comme capitale Reims avec comme duc LJS.

Chapitre VI : Une nouvelle vie d'errance jusqu'à Fécamp et la Normandie

Cesars était parfaitement rétabli. Alors qu'on lui annonçait que de nouvelles provinces venaient d'être reconquises par Charles VII, Roy de France, il partit les découvrir. Il habita consécutivement Langres, Dieppe, Troyes, Bayeux, Honfleur, Sémur, Tonerre. Il s'installa finalement à Fécamp.

Cesars fut bien accueilli, il y construisit même une taverne la première de l'histoire de Fécamp. Il fonda le syndicat des taverniers. Il devient ami avec Zairi, le maire, qui cultivait comme lui les légumes. Mais suite à une revente abusive de carcasses de vache à la mairie, le maire décida de lever des impôts pour tout le monde mais inégaux ; ainsi les éleveurs de vache payèrent 50 écus par champs contre seulement 15 pour les maraîchers. Il fut critiqué, notamment par un dénommé Petitsuisse. Zairi connut plusieurs tentatives de prise de la mairie mais sans succès, il y resta. Mais c'est un peu plus tard qu'il partit à Calais, laissant derrière lui Fécamp. Pourquoi est-ce que je vous raconte ça ? Car ça fait partie intégrante de l'histoire de la ville de coeur de Cesars : Fécamp.

La mairie ne fut jamais stabilisée, si bien que les finances étaient à zéro. Cesars décida de remonter le moral des troupes en construisant une école : l'école de Fécamp pour tout les habitants de Fécamp, avec une belle bibliothèque et de belles salles, de cours ainsi que la cathédrale : Notre Dame de Normandie. Grâce à elle, Cesars put intégrer les doyens de l'université royale, dirigée par FrèreNico. Très vite l'école accueillit aussi les archives municipales ainsi que la SDF : Soule De Fécamp.

Le pape qui savait que Cesars avait fait de longues études un peu partout en Europe, qu'il avait longtemps été Père Abbé d'une grande abbaye et qu'il venait d'intégrer l'ordre des Bénédictins dont il avait écrit les règles, le contacta pour qu'il construise l'Eglise, Cesars savait bien que seul il ne pouvait rien, il contactait donc FrèreNico, reconstructeur de l'ordre des Franciscains, pour l'aider. Cesars demanda au pape des salles dans son palais pour l'Eglise, il les lui accorda: une salle pour la Curie, une par congrégation, une par évêque (pour faire leur bureau). Avec FrèreNico et l'accord du pape, ils nommèrent la Curie : 11 cardinaux, des Franciscains, des Bénédictins, des membres de l'ordre de Saint Marc, des indépendants... Pour ne citer que les meilleurs Marcus, Breizh, Caedes, Jarkov, FrèreNico et bien sur Cesars. Après ça, la Curie et le pape se penchèrent sur la nomination des évêques et archevêques. Cesars fut nommé archevêque de Rouen. Une première bulle papale écrite par FrèreNico, devenu chancelier papal, fut publiée.
Il commençait à nommer les prêtres : Damien, aujourd'hui archevêque de Rouen, pour Lisieux, Marman pour Avranches, Frère orban l'aida à Dieppe, ou le phookaïsme (une secte) avait beaucoup d'importance. Malgré tout ça le château de Rouen fut prit d'assaut par des Artésiens. Après 5 jours de bataille le Roy les expulsa. La Normandie devenait domaine Royal mais Phooka notre duc était mort, le Roy organisa des élections pour choisir le nouveau conseil ducal et le nouveau duc. Après avoir fait ami ami avec Melwinger qui le lâcha, il alla sur une liste composée notamment de BJB, Kalagne. Ce dernier lui fit découvrir le PARS (Le Parti pour l'Action et la Réforme de la Société) .Cesars se fit élire au conseil Normand. Le duc Helric, un hérétique alcoolique jusqu'au dernier jour de sa vie où il devient juste alcoolique, le nomma connétable.

Mais le pape décida une croisade contre l'hérétique Normande. Ne voulant choisir entre la Normandie et l'Eglise, entre le peuple et Dieu, il choisit de quitter son poste de connétable. On ne lui en tint rigueur dans aucun des deux camps. La croisade, suite à des négociations et au traité de Normandie, n'eut pas lieu. Cesars devient prévôt temporaire pour remplacer Hellbrother.

Après tout ces évènements, le Roy décida, à nouveau, de faire des élections pour choisir un nouveau duc et un nouveau conseil ducal. Cesars créa une liste mais dans les derniers jours on le lâcha. Helric après sa conversion, mourrut après avoir bu les réserves du château en alcool. Cesars parti s'exiler quelque temps à Rieux. Mais avant de partir il avait construit une abbaye : l'abbaye Normande mais elle ne connut aucun succès. Il écrivit aussi une chronologie des archevêques de Rouen ainsi qu' une biographie de notre bon Roy Charles VII
Chapitre VII : La Franche-Comté, un renouveau
On annonça à Cesars que la Saint Empereur avait décidé de peupler la Franche-Comté. Il y courut. Volpone, un ancien cardinal devenu son ami, en était le comte. Mais l'Empereur choisit un nouveau comte ... enfin ... laissa le peuple Comtois choisir un nouveau comte et une équipe comtale. Il créa une liste, il fut élu. Le duc Hellbrother, qu'il avait connu en Normandie, le nomma connétable, fonction qu'il avait déjà exercée en Normandie.
Le pape le nomma chef des armées papales et des renseignements.
Le 25 octobre 1453, Cesars devient un étudiant dans l'université Franc-Comtoise. Il donna le jour même un cours de latin qui lui rapporta 50 écus, ces élèves étaient des personnes importants : Volpone, Hellbrother,...
De nouveau élue, la comtesse TK nomma Cesars au poste de bailli et donc des mines. A cause d'une sous production de fer Cesars du fermer la mine d'or.
Dans le même temps, Cesars voulu créer une équipe de soule mais pour cause de sous nombre cette dernière ne se fit pas.
Plus tard le Pape Nicolas V demanda à Cesars d'aller prêcher dans le Saint Empire germanophone.
De retour en Franche-Comté et à Vesoul il créa de nouveau une taverne.
Il continua a améliorer la mine de fer, pour que, bientôt, la Franche-Comté puisse se suffire à elle même.
Le pape Nicolas V mourrut à la suite, dit-on, d'un repas houleux avec le Roy de France Levan III. Il fallait élire un nouveau pape, le Roy imposa de force Eugène V. Ce dernier nomma Cesars archevêque métropolitain de Besançon le 12 décembre 1453.
Le 2 février 1454, Cesars fut nommer Primat du SERG par la Curie.
Le 15 du même mois Cesars devenait héraut de Baden dont le comte Césarion était un ami
Le 16 février 1454, Cesars, faisant parti de l'équipe de soule Franc-comtoise, avait participé à un match mais pas n'importe quel match le premier match de soule inter ducal mais en plus il était dans l'équipe victorieuse.
Après avoir végété quelque peu à la Diète, Cesars fut nommé à la CSI (Cour Suprême Impériale) mais il démissionna par manque de temps.

Chapitre VII : Des Saintes Armées
Cesars se consacra entièrement aux Saintes Armées qu'il organisa pour en faire la ou l'une des plus grandes armées d'Occident.
Cesars avait su se faire des amis ou des alliés des hauts dirigeants des Ordres. Ainsi Kreuz devint l'interlocuteur privilégié de Cesars ainsi qu'un grand ami, la Grand Maistre des Hospitaliers était un disciple du neveu de Cesars : Aragoth, et Eckris Grand Maistre ad interim des Teutons devint un allié puis ami de Cesars. Les ordres étaient la plus grande réussite de Cesars.
Toutefois Cesars ne voulut en pas en rester là. Il (re)créa donc le rôle honorifique et prestigieux de Vidame. Ceux-ci n'eurent pas un grand succès car les archevêques n'en voulaient visiblement pas.
Mais Cesars n'est pas du genre à baisser les bras. Il lança ou plus relança la Garde Papale. Grâce Anirbas, son ami, la garde se développa vite.

Pour remercier tous les brillants membres des Saintes Armées, Cesars lança donc "l'office militaire, dit Office d'Aragoth et Isenduil" de "l'ordre du mérite d'Aristote". Le premier membre ennoblit fut Sencha puis Kreuz et Anirbas furent ennoblit ensemble.

Chapitre IX : De la démission

Cesars ne supportait plus les coups bas de son principal rival, celui que Cesars surnommait l'incapable, gratte-papier, détestable et toujours absent : """Son Eminence""" FrèreNico. Le dernier de ses coups bas fut la volonté de faire déménager la Garde papale de ses beaux bâtiments pour des locaux insalubres. Son Eminence Nico obtint de la Curie la permission de la Curie de déménager la garde papale contre l'avis de Cesars. Mais cela n'a servi qu'à faire démissionner Cesars, en effet le détestable n'appliqua pas (au moins tout de suite) la décision de la Curie. Il devait être trop occupé à gratter du papier, lui qui pensait que les ordres ne servait à rien.

Cette démission fut une bonne chose pour Cesars qui put enfin se consacrer à la Diète
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