2ème mise en situation: Rencontre avec les Ménestrels

Damoiselle NouG entre dans la classe et s'asseoit face aux élèves sur son grand bureau

Bien, maintenant que le calme est revenu sur le village et que le grand soir entre l'Artois et la Normandie n'est pas pour aujourd'hui, nous allons pouvoir nous remettre à travailler!!

Ne peuvent faire cette 2eme situation que les élèves qui ont auparvant fait l'étape: Aurevoir fécamp, et qui ont été corrigés !

Récapitulation des équipements de chacun:

Olvadio: portrait de ta maman, boules de jonglages, couteau, 10 écus

Salvatore: boules de jonglages, un bâton, et n'oublie pas que Médor et le Monsieur (donne lui un nom!) te suivent toujours!

Ifli-Gouilla-Biya-Bousou : couteau de cuisine et... euh un magnifique cocard , qui te suit jusqu'à la fin de cette Etape!!

Après cette nuit très confortable à l'auberge du cochon pendu pour certains (mais bien trop fraîche au goût d'autres), vous voilà reparti sur les chemin du Royaume France.
Les jours se suivent, il fait beau le printemps pointe le bout de son nez.... les oiseaux chantent et les papillons papillonnent [déjà en 1451..]

Vous marchez tranquilement pensant atteindre très bientôt Rouen!!! La grande ville, enfin! Mais ce jour là, tandis que vous gambadiez comme d'habitude, vous entendez, intrigué, par une douce mélopée aigue.

Comme hyptonisé(e), oubliant votre but (quel but? ) vous décidez de vous laisser diriger par cette étrange musique. Vous quittez le chemin, le sons de rires se fait plus proche. Vous pénétrez dans un bosquet et vous vous chachez dans le buisson le plus proche.
Une vingtaine de jeunes gens beaux et forts pour la plupart chante à tue-tête en faisant de grandes rondes.
Seul l'un d'entre eux sautille au milieu en jouant d'un toute petite flute au son de petit oiseau.

Ravi(e), vous esquissez un petit pas de danse au milieu de votre buisson, mais là, votre marotte s'accroche à une branche
vous voilà les fesses par terre et les grelots tintillant à vos oreilles.

La musique s'est arrêtée, tout le monde a les yeux fixés sur vous.
Le joueur de flute étonnament grand, sort de la ronde et vous regarde avec un grand sourire et penche sa cheveulure blonde ebourrifée sur vous :

Citation :

Augustin de la Clairefeuille,
Troubadour d'ayeuls en ayeuls!!...

Voici ma troupe de fier ménestrels
Les mandragores à quatres ailes

Qui es tu brave garçon?
Tes milles grelots soufflent bouffon....

Il éclate d'un grand rire perçant, bientôt imité par tous ses compères. En grande majorité ce sont des hommes, mais vous apercevez deux trois jeunes filles qui s'époumonent parmi eux...

1. Que dites vous? Présentez-vous à ces menestrels.

Citation :

Bien jeune Bouffon!!!!
Veux-tu que nous mangions?
Nous discuterons
Autour d'un beau cochon

Vous en profitez pour leur expliquer rapidement votre histoire, et vos quelques aventures. Ils vous écoutent tous, parlent peu ou sinon en rime ou en chantant. Vous parlez de Rouen, mais là Augustin vous coupe et s'étonne que vous n'alliez pas à l'audition des Bouffons Royaux, à Paris.

Citation :

Nous nous allons à Paris...

Vous demandez à les suivre

Citation :

Nous nous allons à Paris...
oui, mais il faut réussir trois défis!
Si tu veux nous suivre sur les chemins
qui t'emmèneront vers ton destin...

Il vous explique alors leur première épreuve: c'est une énigme, il faut répondre dans le creux de l'oreille d'Augustin:

Citation :

Je suis au début de la nuit et à la fin du matin...
On m'aperçoit deux fois dans l'année...
Qui suis-je?

2. Quelle est la solution de l'énigme mais en MP SVP ;
Si vous ne voyez vraiment pas , essayez de vous en sortir autrement!!


La suite des épreuves très bientôt... Rejoindrez vous la troupe des mandragores à 4 ailes

Ménestrels et troubadours
Nos chemins se sont croisés
Et même si je dois franchir des tours
Rien ne doit nous séparer

C'est la destiné qui a guidé ma vie
Pour que je devienne votre camarade
Pour rentrer de la belle ville de Paris
Avec la plus belle des victoires

Mais il est temps de vous dire
Que je me nomme Salvatore
Je danse et je chante la vie
Avec mon Antonio mon grand ami

Mais j'oublier de vous présenter
Le plus grand et le plus doué
Il s'agit bien sur de Médor
Qui pour moi vaut de l'or

J'espère que nous aurons l'honneur
De pouvoir vous accompagner
Vers une si belle destiné
Pour que notre coeur de remplisse de bonheur.


Salvatore se met alors à réfléchir à la devinette, il cogite et ne trouve pas, il va voir alors son ami Antonio qui est perplexe, il regarde Médor qui se met à aboyer 14 fois. C'est alors qu'un grand sourire apparaît sur le visage de Salvatore. Il a trouvé la solution

1. Ifli-Gouilla-Biya-Bousou tout rouge (et bleu à cause du cocard) se presenta à l'assemblée :

heu... Bonjour ! ( Tout le monde se met à rire de plus belle devant l'air de Ifli-Gouilla-Biya-Bousou)
Je m'appelle Ifli-Gouilla-Biya-Bousou (Nouveaux eclats de rires) et je suis un pauvre bouffon qui à été attaqué sauvagement par un brigant sur la route ! heureusement grace à mon extraordinaire aptitude au combat je l'ai fait tombé et je suis parti et alors... (son discours dura 1 heure)

2. Pendant une dizaines d'heures, Ifli-Gouilla-Biya-Bousou cherche vainement la réponse, finalement il s'aproche d'Augustin de Clairefeuille et lui dit

Je suis désolé mais je ne trouve pas la réponse, mais si vous m'acceptez je vous promais de travailler durement : regardez :

Sur ces mots le bouffon executa un numéro digne des plus grand bouffons de Normandie. Et petit à petit, quelques menestrels se mirent à jouer leurs musique et bientot tous jouaient. Cela attira même quelques passants qui deposèrent des pieces sur le sol. Après le numéro, Augustin de Clairefeuille et les autres menestrels se consertèrent. Après une autre heure d'attente Augustin dit à Grizal qu'il avait réussi la première épreuve, bizzarement mais bon...

Je relève la tête et vois toute l'assemblée qui se moque de moi. En une fraction de seconde je me dis qu'il faut improviser. Je me relève donc en executant un salut comme si c'était un numéro préparé. L'éclat de rire repart de plus belle, je ne sais pas si c'est de la moquerie ou un rire sincère mais ou moins, j'ai essayer. On me demanda de me présenter. Je me mis à parcourir l'assemblée en racontant mon histoire :

Lassé de la monotonie,
Je partis à l'aventure.
Je quittai Normandie
Ainsi que mes patûres.

Sur les chemins,
Il m'arriva bien des choses,
Mais jamais le Malin,
Me rendit morose.

Je m'approche d'une jeune fille et j'accomplis un de mes tours de passe-passe. Je mets ma main dans ses cheveux et j'en ressors une rose.

Après avoir visité tavernes,
Monts et cavernes,
Je me retrouve ici,
Par vos talents, ébloui.

Mon nom vous allez me dire,
Oh, pas de problèmes, il n'est pas à retenir,
Mais sachez qu'on me nomme Olviado,
Et qu'avec moi, un sourire est toujours beau.


Une fois présenté, je m'installe près du feu. Il me demande où je vais, si j'ai un but.

Oh non, je marche inlassablement. Pour le moment, je me dirige vers Rouen.

Il me coupa aussi sec :

-Rouen !? Vous n'allez pas à Paris pour l'audition des bouffons royaux ?
-Pardon ? Comment y aller ?
-Nous allons à Paris.
-

Citation :

Ô menestrels, je vous en prie,
Avec vous, prenez moi,
D'ici à Paris, de sept heures à minuit
Tous les soirs je vous mettrai en émoi.

-Cela va être difficile.
-

Citation :

Je ne ferais pas de bruit,
Je vivrais tel une souris.

Il sembe accepter mais il m'annonce qu'il faut réussir trois épreuves. La première est une énigme. Je réfléchis une bonne demi-heure et je m'approche d'Augustin, je lui glisse la réponse à l'oreille. Un sourire apparaît sur son visage.

Olviado et salvatore :
Augustin vous regarde étonné!!

Citation :

Magnifique ! Comment as tu trouver si vite?
Un bouffon qui pense... tu vas devenir un mythe !!
Mais maintenant il reste un défi typique:
Il faut savoir rimer en musique!!

Ifli-Gouilla-Biya-Bousou :
Après votre numéro, les ménestrels s'écartent de vous et font une reonde très compacte: ils se concertent!!
Au bout d'une heure Augustion de Clairefeuille s'approche de vous:

Citation :

Cher bouffon, penser n'est pas ton fort, ni ton boulot!!
Par contre tu es très doué pour les numéros.
Pour cela nous t'accordons ta chance!
Mais il te faut rimer pour entrer dans la danse;

Les menestrels vous prennent par la main et vous placent prés d'Augustin. Ils font une grand ronde autours de vous deux et tournent tournent, en sifflant une mélodie.
Vous sentez que c'est là votre deuxième épreuve. et que pour vous en sortir il faudra suivre Augustin.

Celui ci se met à chanter:

Citation :

Bouffon, demain nous t'acceuillerons
O toi qui divertis les rois, tendre fanfaron
Un jour je la sais tu reviendras à la raison
Foi de Ménestrel, tu ne tournera plus en rond
Folie douce laissera place aux chansons
Oyez, Oyez brave gens des cantons !!
N'oubliez jamais les pauvres bouffons

3. Que lui répondez-vous?

Grizal, n'as jamais été tres fort en rime, il commence à se dire que les menestrels ne vont jamais l'accepter dans leur bande. Mais il se lance :

Merci, demain de m'accueillir
Je vous aiderais et au pire
Je ne risque que de heu... mourir
Mais je ne vais pas déguerpir
Je vais essayer de faire rire
Les pauvres gens des ( le vent fit craquer une branche )
Alors je vais vous le redire
Merci, merci de m'accueillir

Augustin me lance :

Citation :

Bouffon, demain nous t'acceuillerons
O toi qui divertis les rois, tendre fanfaron
Un jour je la sais tu reviendras à la raison
Foi de Ménestrel, tu ne tournera plus en rond
Folie douce laissera place aux chansons
Oyez, Oyez brave gens des cantons !!
N'oubliez jamais les pauvres bouffons

Je lui répond en chantant :

J'aime la chaleur du bouffon,
Qui jamais ne laisse compagnon,
Dans un désarroi trop profond.
Il déploira son talent de fanfaron,
Pour faire évaporer tristesse en chanson.

La musique changea de rythme, sûrement une ruse d'Augustin.

A vous, merci de m'acceuillir,
Je m'éforcerai de vous faire rire.
Je travaillerai même dans le pire,
Car toujours je veux voir sourire
Cela je peux vous le garantir !
Si le rire ne se fais plus ressentir,
Et que je devrais craindre votre ire,
Ne vous inquietez pas Sire,
De mon plein grès, je saurai partir.

Tels les bons marmitons
Qui nous régale avec leurs thons
Nous oublierons jamais les bouffons
Qui nous apportent joie et jubilation
Qui nous délivre de l’oppression
Et nous font découvrir la passion
Aujourd’hui est un grand jour
Car ma vie vient de changer
Je fais parti désormais
D’un belle troupe de troubadours
Il est temps de continuer la fête
Et de reprendre nos chansons
Dansons et buvons jusqu’à être rond
Et laissons la belle Aphrodite
S’occuper des amoureux de Normandie
Car je dois jouer pour mes nouveaux amis .

Pendant que vous déclamez, très concentré vos quelques rimes, la troupe de joyeux lurons se met à rire et encore à rire...
Après votre jolie démonstration, et tandis que tout le monde se roule presque par terre, sauf une jeune fille au regard tendre, Augustin de Clairefeuille les larmes aux yeux, tente de vous dire entre deux rires:

Citation :

Ah mon ami, qu'est ce tu m'as fait rire!
Tu rimes un peu en vrac mais tu m'épates.
Tu chantes comme un coquelet en pâte,
Mais ma troupe est comblée par tes délires

(Ok, c'est un peu, bon beaucoup, tiré par les cheveux, mais ce que j'attendais vraiment, c'est un poème de 7 lignes, où les première lettres de chaque vers forment ensemble le mot BOUFFON (si si regardez bien) et donc avec des rimes en "on". Mais bon... je suis p'tet un peu compliquée là...)

Vous ne comprenez pas très bien ce qu'il a voulut vous dire, mais bon... ca a plutôt l'air de leur avoir plu. La soirée se finit plutôt bien au milieu de chansons qui vous étaient jusqu'à présent inconnues.
Vous commenciez à vous endormir prés du feu, mais une personne vient s'asseoir prés de vous et commence à vous parler

4. Qui est cette personne, que vous dit-elle?

****************************************

Le lendemain, vous reprenez la marche avec vos nouveaux compagnons. vous êtes content de les avoir rencontrés, vous ne saviez plus très bien vers où aller. Quelques jours passent ainsi, jusqu'à ce que vous atteignez une ville. Vous êtes arrivés à Chartre, et vous régalez vos mirettes de cette belle ville... Fécamp vous manque un peu.

Dans l'après midi, Augustin vous annonce que la troupe va donner un spectacle ici même, 'pour sourire et se nourir" dit-il.
vous comprenez alors que votre troisième épreuve (que vous aviez totalement oubliée) est proche.
Vous devez chauffez la place du village avant l'entrée en scène des ménestrels, ce qui ne va pas être chose facile, puisque la troupe a l'air très attendue ici.

Augustin vous propose plusieurs costumes pour faire votre numéro:
un vieux costume de Roy (de l'époque de Charles V... complétement démodé), un costume de menestrel en rab, un costume d'âne (sans doute celui de la crèche de Noël), une robe de femme, une peau de mouton et un costume ensaglanté de soldat ( il a fait Orléan! vous dit-on)

5. Choisissez un de ces magnifiques costumes et faites votre numéro! En scène !!

Braves gens, battifolons, jouons
Oublions nos moutons
Unissons nos chansons
Fini la solitude, je suis un bouffon
Fier de l'être à en perdre la raison
Oh merci à vous mes compagnons.
N'est t'il pas temps d'aller voir le marmiton ?

Oui, c'est exactement ce que j'attendais Helric, très joli!!

Mais il faut faire là suite les gars... on reste motivé!!
J'attends vos réponses...

4. Ifli-Gouilla-Biya-Bousou, les paupières lourdes, commence à somnoler pres du feu quand tout à coup une personne arrive, Ifli-Gouilla-Biya-Bousou la reconnait tout de suite : c'est un des menestrels de la troupe, qui s'appelle Ipokondriak

Toi le nouveau lui dit il je voudrais monter un complot contre Augustin de Clairefeuille, il parait qu'il est tres riche, nous pourrions faire 50/50. Ca t'interesse ?

Ifli-Gouilla-Biya-Bousou comprends tout de suite que cet Ipokondriak est un peu dérangé et malhonète.

Par contre continu-il tu devra le tuer toi meme, je ne peux pas en ce moment j'ai mille et une maladies...

Ifli-Gouilla-Biya-Bousou réagit vite

Non désolé je ne peux pas !

Et il partit, il devrait prevenir Augustin un de ses jours

5. Ifli-Gouilla-Biya-Bousou est tout de suite attiré par le costume d'ane, qui, dit il ressemble à sa personnalité. Il s'en va sur la scene et chauffe le public à force de plaisenteries (consernant son nom et son cocard pour la plus part)

(euh pour raison IRL ma réponse attendra mardi, partiels)

4.

Olviado était assis sur un tronc d'arbre, sa tête commençait à se ballader de gauche à droite, quand il ferma ses paupières, une voix douce le sortit de ses songes. A la vue de cette être, Olviado sursauta, c'était une des filles de la troupe, son visage, éclairé par la lueur du feu, était étincelant.

-Oh excusez moi, je vous ai fait peur.
-Oh non pas du tout, c'est que..... en fait c'est que...

Olviado rougit, la jeune fille sourit :
-Je suis content que vous faites la route avec nous, vous semblez avoir du talent.
-Merci.
-En fait, je viens vous voir pour prendre des nouvelles de chez moi, comment vont mes parents Jacques et Marie ?
-Euh...vos parents ?
-Oh, excusez moi ! Je ne me suis point présentée, je suis Claire Delune, j'habitais Fécamp, mais je suis parti il y a longtemps, 6 ans environ. J'ai vu cette bande de bouffons et je suis partie avec eux, mes parent étaient très triste mais je ne doute pas qu'ils vont mieux maintenant, n'est-ce pas ?
-Ah oui, les Delune...

Olviado paraissait gêné, très gêné :
-....
-Quoi ? Qu'est ce qu'il y a ? dit elle dans un souffle.
-Ils sont...morts, mais de leur belle mort, rassurez vous, ils sont morts heureux. Marie répétait juste tout le temps un prénom, maintenant je comprends...
-Lequel ?
-Claire... Mes condoléances.
-Merci Olviado, je vous remercie de votre sincérité, si vous le permettez, je vais partir me reposer un peu, je suis fatiguée, cette nouvelle n'arrange pas les choses.
-Je comprends... Bonne nuit.

Sur ce, Olviado partit s'installer dans sa couche et s'endormit aussitôt.

5.

En grand bouffon qu'il est, Olviado fit une grimace devant le panel de costume et Augustin ria de bon coeur. Cependant, ayant une idée soudaine, il choisit le costume de soldat. Il l'enfila... ouf tout juste, c'était un peu serré mais ça allait.
Stressé, le jeune bouffon marcha jusqu'à la scène, inspira une grande bouffée et se jetta sur la scène en criant :

-A moi, je suis touché !

Le soldat regarde son épaule :
-Ah nan c'est pas mon sang, parce que moi mesdames, moi messieurs, j'ai du sang bleu. Et oui, l'arrière gand père de la mère de la tante de la cousine de mon père était noble. Il possédait quelques terres, pour cultivait ses plantes, on l'appellait "l'botanique".
Quoi ? S'il avait beaucoup de terre ? Bah, peut être 4,5 pots de terreau + 2 trois pots de terre normale ! Il lui en fallait pas plus pour ses plantes.

Il esquive un coup et tue son ennemi fictif :
Et un de plus, lui il était pas noble, à voir son sang il serait plutôt... serf, oui un serf ça à le sang noir, bah oui, à force de travailler dans la terre ! Quoi ? Alors mon grand père devrait avoir le sang noir ? Mais modérer votre langage bande de sangs noirs ! Il est peut-être noir mais il est bleu aussi. Non mais !

Augustin, complice crie :

-Hé le schtroumpf ! Au lieu de rêvasser, tu te bats ou quoi ?
-Moi un schtroumpg, mais arrêtez manant ! Peut être que vous n'êtes pas au courant mais là on se bat pour grand schtroumpf, pour Charles V, donc vas-y molo sang noir ! Allez y'a plus personnes à tuer.
De toute façon, c'est la nuit, je vais me reposer, mon capitaine doit se faire un sang d'encre !

Le public ayant compris la blague, il éclata de rire, Olviado était soulagé est partis se reposer en coulisse.

Grizal lève la main, osant poser la question que tous les autres eleves n'osaient pas poser

Madame, vous nous les rendez quand les controles ?

Oups Helric tout honteux arrive ne retard et donne son devoir :

4. Salvatore, dormait tranquillement lorqu'il entendit une brindille craquer, il se réveilla en sursaut mais une douce main lui posa sa main sur sa bouche lui faisant signe de se taire et lui demanda de le suivre. La demoiselle l'amena dans la clairière un peu plus éloigné et demanda à Salvatore si elle le reconaissait. Salvatore pensif se mit à réfléchir mais répondit :
-Désolé mademoiselle mais je n'ai point l'impression de vous connaître.
La demoiselle fit une moue de dépit et s'enfuit vers la troupe. Salvatore était dépité et il pensa la nuit à réfléchir qui pouvait être cette belle demoiselle.

5. Salvatore prit la robe de femme rose et se mit devant le public. Il se mit à genoux et cria :
Peuple de Normandie excusez moi d'arriver dans cette tenue mais bon il parraît que le rose est à la mode et les robes aussi, il suffit de regarder notre Duc, ce bon poivrot qui pense qu'à boire et manger des pommes.
Oh noble Duc je vous en prie laissez nous boire de l'eau car la bière c'est bon mais ça donne encore plus soif. Vous trouvez pas que notre duc est le plus grand de tous les Ducs ? Ah non c'est vrai c'est la plus grande des Duchesses, c'est vrai qu'elle doit aller voir le barbier avant car elle oublie souvent de se raser Duchesse Helric. Bon je rends les hommages à madame la Duchesse Helric et je vous laisse bon peuple de Normandie.

Dame Noug se réveilla en sursaut

Euh.. les devoirs, hum hum, oui eh bien j' ai les trois copies, je vous rends ça très bientôt

Grizal s'endort...

Petgaz s'effondre sur la table. ... ... ...

Cesars arrive à l'improviste et cria :

Mlle NouG c'est quoi ca, vos élèves dorme en cours

Petgaz se réveille tout de suite :

Euh non, j'ai juste fermé les yeux pour m'imprégner du silence de cette salle !

C'est pas safaute mais la mienne à cause moi elle a plein de travail de couture pour une nouvelle robe.

D'accord ca peux passer

DEBOUT LA DEDANS!!!!

hum.. hum bonjour cher eleves!! euh... veuillez excusez cette absence interminable... Je vais reprendre les choses en main, corriger vos copies, mais les cours reprendront a la rentree, que je fixerai... a l'improviste!!

(attention j'ai tous les droits maintenant que je suis directrice!! )

Bon en effet, je me suis mise a la couture, j'ai beaucoup folatrer dans les champs avec mon fiance , et j'ai aussi fait une retraite spirituelle et accessoirement bu beaucoup de bieres ... voila ce qui peut expliquer mon absence de l'ecole..
Mais me revoila!!

Euh.. les copies je les corrige tres bientot promis!!